Revue de Presse du 27 Décembre 2024 : De bien tristes sirs ...
Un gouvernement en remplace un autre et une censure se substitue à la précédente …
Le presque roi de ce qu’il reste de la République tient la gouvernance de cette petite guinguette dans laquelle s’entendent les musiques usées et désaccordées de quelques tristes sirs minables …
Et ce président quasiment défait continue de faire comme si son parti n’était pas minoritaire, comme si sa politique n’avait pas échoué, et également, presque ruiné la nation et découragé le peuple de se servir des élections pour formuler ses intentions en matière de gouvernance, d’idées politiques et des personnes devant le diriger …
Les suffrages universels ne sont plus de mode ; les effets de communication installent une sorte de dictature invisible, une répétition incessante d’irréalités qui effacent ce que les élections disent, ce que le peuple demande …
Cette manière mensongère et partisane de reformuler la politique produit beaucoup de pauvreté intellectuelle, de découragement, de résignations et de désistements …
En creusant fortement la dette, ce président a volé la nation pour enrichir la haute finance internationale ; puis, pour resté accroché au pouvoir, il a volé les suffrages du peuple en refusant de prendre les chemins demandés par les électrices et électeurs …
Ainsi, parmi d’autres facéties, le président nous avait fait croire que l’enrichissement de plus riches ferait ruisseler cette production de richesse parmi les classes populaires, et de surcroit, enrichirait la nation toute entière …
Cependant le constat est tout autre : certes les riches sont plus riches encore, mais la pauvreté des plus démunis s’est fortement accrue et la nation, au contraire de s’enrichir, à augmenter sa dette ; le libéralisme du président n’est que délabrement, le petit peuple ramasse les débris de cette ruine …
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